La menace qui pèse aujourd’hui sur le Venezuela n’est que l’ombre portée, le signe avant-coureur d’un mouvement de prédation aux dimensions planétaires. S’il faut soutenir aujourd’hui ce pays et sa résistance héroïque à l’impérialisme, c’est certes bien oui, par solidarité avec ce peuple brave et fier, mais c’est aussi, de façon plus pragmatique, parce que nous sommes à plus ou moins brève échéance, les prochains sur la liste.

Please follow and like us:

Laisser un commentaire