Par Jean-Yves Jézéquel

Source : Mondialisation.ca, le 23/01/2022

Le délire collectif provoqué par une caste mafieuse au pouvoir, a réussi à semer un tel désastre sur le monde occidental, qu’on pouvait se demander comment ce pan-médicalisme actuel avait pu surgir du néant en aussi peu de temps ?!

On s’étonnait de voir comment la secte médicale avait pu interdire violemment la prescription de traitements efficaces et sans danger – au point qu’on en utilisait même depuis 70 ans sans avoir besoin de prescription médicale – leur vente en pharmacie étant libre depuis des lustres ! Mais tout à coup, ces traitements efficaces devenaient des poisons mortels interdits à la vente du jour au lendemain ! Comment la secte médicale avait pu sanctionner de nombreux médecins en les traitants comme des hérétiques, des apostats ou des délinquants, rappelant à leurs membres l’obligation de s’en tenir au petit catéchisme rouge des gardiens du système sanitaire ? De quelle manière elle avait osé les traiter ou même les faire enfermer ? Comment la secte avait bloqué et interdit tout ce qui pouvait guérir réellement, soigner réellement et sauver des vies ?!

Pourquoi ce pan-médicalisme s’était mis au service exclusif du crime et des monstrueux intérêts financiers de Big-Pharma ? Comment le serment d’Hippocrate avait pu être piétiné par cette médecine de charlatans l’ayant trahi au point d’en devenir l’antithèse radicalisée ? Pourquoi cette caste de prédateurs voulait faire croire que les bons traitements sans danger étaient soudain devenus des poisons mortels interdits ? Pourquoi les autopsies étaient-elles interdites dès le début de cette crise volontairement provoquée et aujourd’hui encore lorsqu’il y a de nombreuses morts provoquées par les injections expérimentales au graphène ?

Pourquoi les chiffres de la Covid-19 ont-ils été si allègrement falsifiés comme nous le savons tous aujourd’hui avec précision ? Pourquoi, tout ce qui pouvait rechercher la vérité était-il censuré et sanctionné ? Pourquoi les études scientifiques très nombreuses qui paraissaient dans le monde entier sur ces traitements efficaces étaient-elles introuvables ou carrément falsifiées ? Pourquoi fallait-il se donner tant de mal pour enfin les découvrir grâce à des réseaux clandestins échappant au harcèlement et à la violence de la répression délirante du covidisme pathologique ? Pourquoi cette violence inouïe, ce harcèlement odieux, si la secte covidiste détenait la vérité ? La vérité utilise-t-elle la violence et la répression de l’interdit pour se faire valoir ?

Il y a de quoi se poser de très nombreuses questions inquiétantes. Dans quoi avons-nous collectivement basculé ? Que se passe-t-il en réalité ? Comment comprendre un déchainement pareil du mal, de la perversion, du mensonge, de l’aveuglement … ?

Que se passe-t-il au niveau de la profondeur de ce qui se déroule en réalité entre le Tout et le rien, le Bien et le Mal, l’Etre et le néant ? Nous devons comprendre que nous sommes au cœur de ce grand combat qui nous dépasse, mais qui nous concerne pourtant collectivement, comme faisant partie de ce Tout qui est ici engagé de manière déterminante.

Dans ce constat sur le désastre exceptionnel duquel nous sommes témoins, il n’est pas spécialement question de « pessimisme » ou « d’optimisme », car à un niveau individuel cela donnerait d’un côté, l’optimiste ou « l’imbécile heureux », de l’autre, le pessimiste, ou « l’imbécile malheureux » !

Peut-être pouvons-nous simplement et utilement nous mettre à la place de cet homme qui écrivait l’Apocalypse à Patmos ! Ce terme grec signifie « La Révélation » (et non pas la catastrophe !) En fait il pratiquait les états modifiés de la conscience ordinaire afin de se connecter, par le langage symbolique, au patrimoine cognitif de l’Inconscient collectif associé au Tout de l’Un éternel, la « Singularité Initiale d’avant le Big Bang », qui se trouve aussi tout entier en chacune des parties du Tout, l’ensemble des parties ne totalisant pourtant pas le Tout…

Connecté au Tout par l’état modifié de la conscience ordinaire (état modifié obtenu par la méditation) qui du coup pouvait s’enrichir de la Surconscience du Tout communiquant avec lui, cet homme pouvait recevoir la Révélation de ce qui se passe entre l’Etre et le néant, entre le Bien et le Mal.

Alors, lisons nous-mêmes ce texte et voyons ce qu’il peut nous dire ici et maintenant :

Apo. 11,7

« … La Bête qui surgit de l’Abîme vint guerroyer contre eux (les habitants de la Terre), les vaincre et les tuer… » « que ce soit, le terrorisme, cette grande pandémie ou d’autres chocs » d’une civilisation aux abois, c’est toujours la « bête de l’événement qui arrive, qui est là… » (dixit Macron en mai 2020) et qui va mettre à l’épreuve tous les membres de l’humanité.

11, 10

Mais ce qui est déconcertant, selon ce que dit la « Révélation » (Apocalypse), c’est que « Les habitants de la Terre s’en réjouissent et s’en félicitent ; ils échangent des présents. »

13,1-4

« Alors je vis surgir de la mer une Bête ayant sept têtes et dix cornes… Le dragon lui transmit sa puissance et son trône et un pouvoir immense… Emerveillée, la Terre entière suivit la Bête… Et l’on disait : « Qui égale la Bête, et qui peut lutter contre elle ? » Les sept têtes de la Bête sont peut-être : le capitalisme, la première tête, caput, capitis en latin, celle de laquelle tout le reste dépend ; la technoscience, seconde tête ; les médias au service du capitalisme, troisième tête ; les Etats profonds en guerre contre les Etats Nations, quatrième tête ; l’industrie agro-alimentaire, cinquième tête ; l’industrie pharmaceutique, sixième tête ; l’organisation sanitaire mondiale, septième tête. Imaginons !

Les dix cornes seraient peut-être leurs moyens d’action: les banques, la nanotechnologie, la propagande pour la peur et par le mensonge, le pouvoir exécutif des Etats profonds, les OGM et le contrôle de la distribution, les injections à ARNm graphénisées, les obligations légales décrétées par l’OMS et suivies par les Etats profonds signataires des accords, le contrôle par l’argent, l’obligation du pass vaccinal, la collaboration inconditionnelle du monde des soignants et l’interdiction absolue des traitements qui fonctionnent mais qui ne permettent pas ni de servir le Capitalisme, ni de contrôler les gens pour les obliger à servir l’argent et son image.

13, 5-7

« … On lui donna de proférer des paroles d’orgueil… le pouvoir d’agir durant quarante-deux mois… On lui donna pouvoir sur toute race, peuple, langue ou Nation. Les habitants de la Terre l’adorèrent… » Dans un an et demi nous arrivons aux 42 mois de la tyrannie covidiste. Ce pouvoir est celui qui a été conçu, pensé, prévu par le « Great Reset » pour installer cette domination effective via le contrôle exercé par la nanotechnologie passant par les injections d’oxyde de graphène. Ce sont des systèmes de nano-puçage (voir l’explication sur les nano-routeurs, dans l’avant dernier article posté sur www.mondialisation.ca) qui sont introduits dans les corps, transformant ceux-ci en demi-machines, réalisant le mariage de l’humain avec la machine, le transhumanisme, ou le passage au tout numérique.  Et tout cela est fermement promu par les actions au Vatican, les mesures de rétorsions et les déclarations du pape François qui a convoqué les prêtres de Rome ayant refusé de se faire « vacciner »…

13,11-18

« Je vis ensuite surgir de la Terre une autre Bête ; elle avait deux cornes… Au service de la première Bête, elle en établit partout le pouvoir, amenant la Terre et ses habitants à adorer cette première Bête dont la plaie mortelle fut guérie… Par les prodiges qu’il lui a été donné d’accomplir au service de la Bête, elle fourvoie les habitants de la Terre, leur disant de dresser une image en l’honneur de cette Bête … On lui donna même d’animer l’image de la Bête pour la faire parler, et de faire en sorte que fussent mis à mort tous ceux qui n’adoreraient pas l’image de la Bête. Par ses manœuvres, tous, petits et grands, riches ou pauvres, libres et esclaves, se feront marquer sur la main droite ou sur le front, et nul ne pourra rien acheter ni vendre s’il n’est marqué au nom de la Bête ou au chiffre de son nom… Le chiffre de la Bête c’est 666. » Le graphène est un allotrope de carbone et il se trouve que son chiffre est le 666 pour 6 électrons, 6 protons, 6 neutrons.

L’autre Bête qui se met au service de la première Bête c’est le pouvoir judiciaire et le pouvoir policier. Grâce à eux, tous ceux qui n’auraient pas le QRcode du pass vaccinal attestant de la marque de la Bête reçue dans le corps, seront interdits de tout, rejetés comme sous-citoyens, parias poursuivis et arrêtés, conduits dans des camps de rééducation où l’obligation vaccinale serait imposée par la force, faisant que les résistants devraient à leur tour adorer le Capitalisme et tout ce qu’il a imaginé pour dresser les hommes à son service obligatoire et à son adoration, ces conditions de vie étant devenues le passage obligatoire au droit à l’existence. Sans le QRcode du pass vaccinal, on ne peut plus ni vendre ni acheter, on ne peut plus fréquenter les lieux de la vie sociale, on ne peut plus être soigné dans les hôpitaux, on n’a plus accès à rien : il faut être marqué du signe de la Bête, grâce à l’oxyde de graphène injecté de force dans les corps par un chantage odieux et une campagne fallacieuse de « vaccination » obligatoire ! Toute résistance entraîne une mort certaine pour celui qui ne veut pas se soumettre au pouvoir tout-puissant de la Bête.

14, 3-5

« … Les rachetés de la Terre, jamais leur bouche ne connut le mensonge… »

14,9-13

« … Quiconque adore la Bête et son image, et se fait marquer sur le front ou sur la main, subira la colère de dieu…Non, point de repos, ni le jour ni la nuit, pour ceux qui adorent la Bête et son image, pour qui reçoit la marque de son nom…»

Celui qui accepte de se faire injecter les produits à ARNm graphénisés, accepte de recevoir la marque de la Bête dans son corps ; même sans le savoir, il aura accepté que les serviteurs de la Bête lui inoculent la marque, faisant de lui une victime du mensonge, de la peur, l’obligeant à se soumettre aux volontés de la Bête qui veut des adorateurs et des serviteurs soumis aux lois de son royaume d’esclavage et de mépris…

15,2

« … Et je vis une mer de cristal mêlée de feu, et ceux qui ont triomphé de la Bête, de son image et du chiffre de son nom, debout près de la mer de cristal. »

Puis ce fut le temps des sept fléaux de la purification du monde. 

16, 2-21

« …Le premier fut un ulcère mauvais et pernicieux sur les gens qui portaient la marque de la Bête et se prosternaient devant son image… Avec le second et le troisième, toutes les eaux devinrent du poison… Avec le quatrième, le soleil se mit à brûler les hommes par le feu, et les hommes furent brûlés par une chaleur torride, mais les humains se crurent plus puissants que la colère de dieu… Le cinquième répandit sa coupe sur le trône de la Bête ; alors son royaume devint ténèbres et l’on se mordait la langue de douleur… Mais les hommes persistèrent par aveuglement à adorer les ténèbres. Le sixième fléau vint de l’orient…De la gueule de la Bête surgirent les faiseurs de prodiges qui rassemblèrent les rois du monde entier pour une guerre totale Harmagedôn. 

… Le septième fléau s’abattit alors sur les hommes ; la nature elle-même se mit en colère : les éclairs, les tonnerres, un violent tremblement de terre…Toute île disparut sous les eaux ; les montagnes s’effondrèrent ; les grandes villes furent englouties ; le désastre fut effrayant… » C’est ce qui est annoncé par la montée des eaux des océans, à cause de la fonte rapide par le réchauffement climatique des glaciers des montagnes et aussi des glaciers de l’Antarctique. Un numéro de Science et Vie, N° 1090 de juillet 2008 donnait un aperçu de ce que vont être les effets de la montée du niveau des océans…

17, 1-18

Cette Bête-là s’est prostituée avec tout ce que le mal peut inspirer. C’est la grande cité, la civilisation de la Bête, inspirée par la Bête, celle du capitalisme sous sa forme ultra libérale, celle de « l’argent, de l’or, des pierres précieuses et des perles, de la richesse », du pouvoir matériel, le règne de « la Bête écarlate couverte de titres blasphématoires et portant sept têtes et dix cornes… »

18, 3-34

« Au vin de ses prostitutions se sont abreuvées toutes les nations, et les rois de la Terre ont forniqué avec elle, et les trafiquants de la Terre se sont enrichis de son luxe effréné… » Les très riches sont devenus encore plus riches avec cette fausse pandémie inventée par les puissances au service de la Bête, au service de l’argent, du Capitalisme parasitaire financier…

Mais ces mêmes riches vont se mettre à pleurer lorsqu’ils verront la chute de cette civilisation qui s’est prostituée avec la Bête de l’argent tout-puissant et Maître de toute vie sur Terre.

« Ils pleurent et se désolent sur elle, les trafiquants de la Terre ; les cargaisons de leurs navires, nul désormais ne les achète ! Tes marchands étaient les princes de la Terre, et tes sortilèges ont fourvoyé tous les peuples… Les justes furent égorgés sur la Terre, mais c’est pour cela que l’heure du jugement a sonné pour la Bête et son royaume… »

Voici que viennent les noces de l’Agneau.

19,19-

« Je vis alors la Bête, avec les rois de la Terre et leurs armées rassemblés pour engager le combat contre le Cavalier et son armée. » 

La solution trouvée par la Bête c’était de provoquer une guerre totale, une nouvelle guerre mondiale ; C’est ce qu’elle prépare dans le Donbass, à la frontière de l’Europe avec la fédération de Russie et jusque dans certains pays de la fédération de Russie…

« Mais la Bête fut capturée, avec le faux prophète- celui qui accomplit au service de la Bête des prodiges par lesquels il fourvoyait les gens ayant reçu la marque de la Bête et les adorateurs de son image… Tout le reste fut exterminé par l’épée du Cavalier… »

Le Capitalisme tout-puissant fut arrêté avec ses serviteurs dévoués. Les Maîtres du FEM de Davos et les Etats profonds qui collaborèrent pour faire exister le Nouvel Ordre Mondial, furent vaincus par l’épée du Cavalier, la rectitude de la vérité.

« …Satan fut enchaîné pour mille ans et jeté dans l’Abîme… Après quoi il sera relâché pour peu de temps encore…. Je vis tous ceux qui refusèrent d’adorer la Bête et son image, de se faire marquer sur le front ou sur la main ; ils reprirent vie et régnèrent avec le Christ mille ans… Puis, Satan relâché fut précipité définitivement dans les ténèbres de la seconde mort qui est éternelle, son anéantissement…»

Le covidisme est une religion, la religion qui adore le démon Dibbouk qui est un Divoc, le Covid….

Tout le monde pense au sujet du Covid : « Co » comme Coronavirus, « vi » comme virus et « d » comme (?). Là on ne savait pas pourquoi il y avait un « D » à la fin du nom de cette maladie…

En réalité, le mot Covid est l’envers du mot DIVOC, ou Dibbouk en hébreu, qui est un mot venu de la Kabbale et qui désigne un « mauvais esprit », un « démon qui habite le corps d’un individu auquel il reste attaché » (Cf., article de Wikipedia sur le mot Dibbouk) Mais, un Dibbouk peut toujours être exorcisé : on peut le chasser.

Le Divoc est la forme latinisée de Dibbouk.

On retrouve le mot Divoc dans le jeu vidéo World of Warcraft.

Si vous tapez Divoc sur Google, vous obtenez ceci :

« Société Divoc – Masque de protection lavable et réutilisable, fièrement créé et fabriqué au Québec. Protège la personne qui le porte et les gens qu’elle côtoie…

Nos masques sont disponibles en deux formats… »

« Test 91 DIVOC – PLACEBO 2022 :

Les sujets 91-DIVOC négatifs sont considérés comme sains, exempts de troubles cognitifs, et donc équipés intellectuellement pour résister…

An interactive visualization of COVID-19 / 91-DIVOC…

91 – DIVOC: Flip the script on COVID-19/91-DIVOC…”

En réalité DIVOC est donc une grande société fabriquant des masques !

Le lien entre DIVOC et COVID étant fait, nous devons dire que DIVOC et Dibbouk c’est la même chose. Satan est le Dibbouk par excellence, le chef des Dibboukim (démons).

Dans le journal Newsweek du 16 septembre 2021, la question est carrément posée : « Est-ce que COVID lu à l’envers signifie ‘Possession par un esprit démoniaque’ en hébreu ? 

Il suffit de taper sur Google : « Divoc hébreu », et là on a aussitôt l’article de Wikipedia évoquant la question du Dibbouk.

Les censeurs se dépêchent évidemment de proclamer que le lien entre Divoc et Dibbouk n’existe pas : « cela n’a rien à voir » ! Ce qui est dit dans Wikipedia est donc dû au plus pur des « hasards » et le hasard n’est qu’une illusion. C’est un pur hasard ou c’est une pure coïncidence ! Et chacun sait qu’un grand nombre de coïncidences est naturellement un pur hasard !

Le covidisme est une nouvelle religion, celle de la mort et de l’extermination de l’humain, celle de l’avènement du transhumanisme qui veut en finir avec l’humain. C’est une religion déguisée en préoccupation sanitaire ! Son nom de Dibbouk, Divoc, Covid est celui de Satan dont le code est 666, (Apoc. 13,11-18) 

Par le plus « pur des hasards », encore une fois, ou par « pure coïncidence », il se trouve que des chercheurs espagnols et japonais ont bien trouvé dans les « vaccins » anti-Covid, de l’oxyde de graphène (666 pour 6 électrons 6 protons 6 neutrons) et dernièrement les services de santé du gouvernement Argentin : la Dr. Patricia Ines Aprea, qui est directrice de l’agence nationale du médicament, l’ANMAT – Administración Nacional de Medicamentos, Alimentos y Tecnología Médica – a concédé que le lot de vaccin CoqueVide d’Astra-Zeneca, CTMAV534 contient du graphène.

La Dr. Patricia Ines Aprea, directrice de l’agence “Evaluación y Control de Biológicos y Fármacos”, déclarait :

« En ce qui concerne la composition du vaccin en question, selon la déclaration, le graphène est inclus dans ses composants ». Si la vérité c’est que les injections des théoriques « vaccins » contiennent en effet du graphène, où est donc la conscience de ceux qui se font injecter ces produits ? Savent-ils ce que cela implique et prépare ? Pourquoi une telle ignorance ou un tel aveuglement ?

http://xochipelli.fr/2022/01/nouvelles-des-brigades-anti-graphene-janvier-2022/#

https://t.me/brigadesantigraphene

https://drive.google.com/file/d/1FLRnWoD8YirQ_CBSLhkEEsts7LCW-6Gn/view?fbclid=IwAR09QIi5NmGuo4XgdBrmhrWjNJFjYlxRQn6G2m823dAv3U9cPCQBpFdP3To

 Le graphène est un allotrope du carbone. Dans sa forme la plus simple, le graphène est le matériau le plus léger, le plus fort, le plus mince et le meilleur conducteur thermique et électrique à ce jour.

Après la découverte de l’Oxyde de Graphène dans les « Vaccins », la Quinta Columna a notamment parlé de ses expériences qui ont révélé les propriétés de photoluminescence du Graphène, son effet de luciférase ! On accumule les hasards !

Juste après l’inoculation, les personnes qui ont été « vaccinées », si elles se placent dans une zone sombre et sont éclairées par un rayonnement ultraviolet, se mettent à briller comme dans l’effet de luciférase dont la manifestation est connue dans certains organismes comme les lucioles, les poissons des grandes profondeurs… Le premier problème, c’est que l’oxyde de graphène s’avère être extrêmement toxique et que ses effets sur le sang sont désastreux, comme les agences de la vigilance sanitaire les ont déjà maintes fois décrits …

Tout cela fait beaucoup de « coïncidences » ou de « hasards » qui se manifestent au même moment, à propos de ces injections théoriquement anti-covid-19 !

Conclusion

Le Mal est tellement répandu, pratiqué ou subi sous ses formes multiples, qu’il en devient un mystère face au désir réel de la majorité qui voudrait vivre en paix dans le bonheur et la sérénité d’une vie entière inspirée non pas par le mensonge mais par la vérité.

Comment le Mal peut-il prendre une telle place et une telle importance dans la vie des hommes, soit lorsqu’ils le subissent, soit lorsqu’ils le pratiquent ?

Il faut avoir les idées claires sur ce qu’est la nature réelle du mal, son origine précise, le monde secret qu’il habite, son identité exacte, son visage caché, ses travestissements, ses mensonges, ses stratégies, ses mœurs, ses modes opératoires…

Avec le Mal, il y a aussi le cortège des malheurs qui l’accompagnent… Avec les malheurs il y a aussi la douleur et la souffrance des hommes… Il est sidérant d’observer chaque jour, l’étendue du désastre sur les personnes broyées par les effets de la perversion de cette religion covidiste du Mal…

Il s’agit de comprendre que le problème du Mal, du malheur, de la douleur et de la souffrance, ne constitue pas une impasse, ni même une fatalité dans laquelle l’homme serait piégé irréversiblement. Il s’agit de découvrir comment le Mal n’est qu’une manifestation accidentelle, comme conséquence d’un choix erroné qui a été fait par l’homme initiant en lui-même le conflit de la dualité anima/animus, qui a provoqué la naissance du Mal par l’absence devenue possible du Bien, qu’il est pourtant toujours invité à choisir logiquement dans le débat intrapsychique qui l’interpelle encore de la même manière, jusqu’au centre le plus profond de son intériorité.

Ni la vie ni la mort, n’appartiennent au monde du Mal et du malheur. Le mal c’est l’absence de bien. Le mal est un néant, il n’est pas de l’être en soi. Le mal peut se manifester par défaut du bien qui aurait dû être là où il manque, là où il est absent, par l’erreur de ce qui a fait le choix de l’ignorer. C’est la survie et la douleur, engendrant la souffrance pour l’être conscient, qui appartiennent au monde du Mal et du malheur. Le Mal et le malheur ne sont pas une fatalité : le Mal est un accident, une potentialité, un possible qui survient lorsqu’il trouve le moyen de se glisser dans le vide ou dans l’intervalle qui sépare les êtres de ce qu’ils sont de ce qu’ils doivent devenir. C’est parce que les êtres sont faillibles et corruptibles qu’ils peuvent faillir, défaillir, se corrompre et être blessés par le Mal ! La religion covidiste est une religion au service du Mal. Elle est donc condamnée à disparaître dans le chaos qu’elle engendre elle-même.

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