Par Jean-Yves Jézéquel
Source: Mondialisation.ca, 03/01/2022
Les chiffres disent que nous avons totalisé 40 malades de la covid-19 variant Omicron en une semaine pour 100 000 habitants en France (0,04% de la population sur une semaine). Ce chiffre a été donné par plusieurs réseaux dont le réseau Sentinelle.
En une semaine 12,9 malades ont été hospitalisés pour 100 000 habitants (2,8 admissions en soins critiques pour 100 000 habitants). Pour 100 000 habitants, il y a 5800 lits d’hôpitaux. Les hôpitaux ne sont donc pas submergés de malades covid Omicron, contrairement aux mensonges diffusés comme d’habitude par les médias et certains médecins collaborateurs de cette campagne de propagande.
Le « terrible » Omicron, représente 40 malades d’un gros rhume pour 100.000 habitants ! Tout le cinéma répressif actuel qui est organisé autour de la fausse pandémie, par les pervers au pouvoir, et leurs dévoués serviteurs, est une fois de plus pitoyable !
La comédie criminelle qui est jouée par les irresponsables de l’Etat profond, persiste dans sa conviction délirante et veut farouchement avoir le dernier mot sur toutes les résistances qui se sont organisées contre sa représentation… Pourquoi cet acharnement qui en devient énigmatique ?
Nous disions, écrivions et publiions il y a déjà bien longtemps, que ce monde du capitalisme ultra libéral était un mensonge, une erreur de civilisation, un mal, auquel il fallait mettre fin sans tarder, car les immenses dégâts qu’il avait causés étaient considérables et continuaient de l’être pour l’humanité et la biosphère dans son ensemble.
Les Gilets Jaunes avaient fait leur « Vrai Débat », du 29 janvier au 3 mars 2019, sur le nouveau monde à mettre en place. (Cf., Le rapport du 27 mars 2019, qui a été réalisé pour les Gilets Jaunes, suite au ‘vrai débat’, par LERASS, Laboratoire d’Études et de Recherches Appliquées en Sciences Sociales de l’Université de Toulouse.) Les Gilets Jaunes représentaient la plus grande aspiration de l’humanité : celle de la liberté, de la fraternité, de l’équité, de la justice sociale, de la paix dans la réalité de l’existence confrontée naturellement aux changements, aux altérations du monde dont la nature perpétuellement évolutive est foncièrement initiatique…
On ne peut plus aborder la question de la fausse pandémie sans faire référence au « Great Reset » : l’un éclaire l’autre, le second explique le premier.
Ainsi donc, le « Great Reset » dit lui aussi que le monde post-covidien ne redeviendra jamais plus comme celui que nous avions connu dans l’anté-covidien !
Enfin le grand changement tant attendu !
Mais voici qu’un bouleversement civilisationnel allait nous être annoncé, mettant en avant ce qu’allait être désormais l’ère d’un « transhumanisme » qui prétend éradiquer la mort, atteindre le bonheur et l’omnipotence !
Vous vouliez le changement ? Vous voilà servis : on vous annonce un grand changement, le « Great Reset » !
On le dit déjà depuis le début de cette fausse pandémie : les incohérences ont été tellement nombreuses, sidérantes, incompréhensibles, qu’il était impossible de croire qu’une équipe de « responsables politiques », « scientifiques », « médecins », personnel sanitaire, puissent à ce point-là errer dans l’amateurisme, l’aberration et la supercherie obscurantiste…
Lorsqu’on a vu les plus éminents spécialistes de France condamnés, censurés, arrêtés, interdits d’exercer la médecine, nous avons compris que le sujet ne pouvait pas être la « pandémie » ni le « SARS-COV-2 », et cela a été désormais prouvé aujourd’hui, mais que toute cette mise en scène mensongère n’était que le déguisement, le prétexte nécessaire à l’application d’un plan non déclaré, non avoué, caché aux yeux des populations qui n’auraient jamais accepté d’entrer dans un tel projet que le programme du Forum Economique Mondial de Davos appelle le « Great Reset »…
Nous devons nous poser des questions toutes simples sur deux niveaux, pour une clarification indiscutable de ce qui est en cause :
1 – Puisque la motivation sanitaire est totalement bidon, dans cette affaire du fanatisme covidiste et du radotage pervers sur des « vaccins » qui n’en sont pas, que révèlent donc « l’Agenda 2030 », le programme écrit et publié intitulé « The Great Reset », par les auteurs décomplexés de cette théorie idéaliste et de la violence sociétale qu’elle implique?
2 – Quel est le réel contenu de ces « vaccins » qui sont crapuleusement imposés aux peuples d’Occident et pourquoi ce contenu n’a pas été dévoilé par les laboratoires eux-mêmes ? Pourquoi a-t-on caché la nature réelle des injections à ARNm ? Pourquoi les députés européens ne pouvaient pas accéder aux informations « sensibles » inscrites dans le contrat signé entre les laboratoires pharmaceutiques et l’Union Européenne et engageant les milliards d’euros d’argent public ? Pourquoi des chercheurs indépendants ont-ils été obligés de travailler, parfois plus de 20.000 heures, pour analyser eux-mêmes des échantillons de ces « vaccins », afin d’être en mesure de nous informer sur ce qui aurait dû être annoncé d’emblée, par respect pour un « consentement libre et éclairé » de ceux qui seraient dans l’obligation de se faire injecter ces produits expérimentaux ?
Voilà les questions auxquelles nous allons tenter de répondre.
1 – LE « GREAT RESET » : UN NÉO-FÉODALISME
Dans le programme publié par Klaus Schwab, le fondateur du Forum Economique Mondial de Davos, « The Great Reset », nous pouvons retenir l’essentiel en quelques points permettant de comprendre où cela nous mène. Cf., traduction française COVID-19 : La grande réinitialisation, Klaus Schwab, Forum Publishing, 2020.
Selon le créateur du Forum Economique Mondial de Davos, la « pandémie » du Coronavirus constitue « une fenêtre d’opportunité » qu’il fallait saisir absolument, car elle était une « chance » pour nous !
Klaus Schwab écrit, page 110 du « Great Reset » : « Dans le cas de la pandémie, le lien de causalité entre le virus et la maladie est évident : Le SRAS-CoV-2 est à l’origine de la COVID-19. Hormis une poignée de théoriciens du complot, personne ne le contestera. »
Remarquons déjà que cette affirmation implique un a priori qui n’est même pas discuté alors qu’il est sérieusement discutable ! Cette affirmation hautement « manipulatrice » est radicalement fausse, puisque le SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé, purifié, identifié comme tel chez les malades de la Covid-19. Quant à ceux qui en sont morts, les autopsies ont toujours été interdites. On ne pouvait pas savoir ce qu’il en était exactement puisque tous les chiffres ont été falsifiés depuis le début, comme nous l’avons vu depuis si longtemps, le but étant de fomenter la peur justifiant une recherche du consentement (non éclairé) du grand nombre, pour une « vaccination » qui se faisait passer comme telle, alors qu’elle ne proposait que des injections dont nous allons voir quel en est le contenu et la véritable nature. Tous types de morts, suite aux multiples maladies existantes, étaient déclarés « morts de la COVID ou morts avec la COVID »…
On connaît finalement le pourcentage très faible que représentent réellement les morts dus à la Covid-19 : en novembre 2021, on en était à 0,06% de la population mondiale.
Mais, le « Great Reset » ou « La Grande Réinitialisation » a des intentions hautement morales.
Le « Great Reset » annonce :
« Il s’agit de rendre le monde moins clivant, moins polluant, moins destructeur, plus inclusif, plus équitable et plus juste que celui dans lequel nous vivions à l’ère pré-pandémique. Ne rien faire, ou trop peu, revient à avancer aveuglément vers toujours plus d’inégalités sociales, de déséquilibres économiques, d’injustice et de dégradation de l’environnement … »
Les intentions sont exemplaires : les maîtres du capitalisme ultra libéral, responsables du désastre commencé en 1976 par les accords de la Jamaïque abolissant ceux de Bretton Woods (Juillet 1944), annoncent aujourd’hui vouloir changer le capitalisme !
Pour y parvenir, la FEM propose « d’orienter l’économie vers des résultats plus équitables, canaliser les investissements pour « construire mieux », développer des infrastructures et techniques de construction qui ne dégradent pas l’environnement et se servir de la quatrième révolution industrielle pour notre bien ». Cette quatrième révolution industrielle est celle de l’automatisation des machines par l’intelligence artificielle et la généralisation des « énergies vertes ». C’est elle qui, en grande partie, mènerait à « un monde plus vert, plus juste et plus prospère ».
Klaus Schwab expliquait dans le journal allemand Die Zeit, que « le néolibéralisme a fait son temps (…) sa défaillance a été mise à nu par la crise de la Covid-19 qui a exacerbé les inégalités sociales ». Bien avant la fausse pandémie du Coronavirus, les Gilets Jaunes avaient dénoncé les « inégalités sociales » et mis à nu les « défaillances de l’ultra libéralisme » ! Le Grand Maître du Forum de Davos définit le néolibéralisme comme « un capitalisme non réglementé et sans restriction ». Il dit vouloir « privilégier un capitalisme responsable qui s’attaque à deux défis majeurs que sont l’écart grandissant entre les riches et les pauvres, et la crise climatique. »
La solution réside — selon Klaus Schwab et le projet de Grande réinitialisation — dans une « redéfinition du capitalisme, pour prendre en compte le capital financier, mais aussi le capital social, le capital naturel et le capital humain. »
Voilà qui est si réconfortant et tellement humaniste ! Mais, les Gilets Jaunes n’avaient pas été « une fenêtre d’opportunité » pour un grand changement ! La vraie insurrection des Gilets Jaunes devait être remplacée par la fausse pandémie, pour entraîner un vrai changement ! On peut déjà se dire que ce changement, le « Great Reset », construit à partir d’un mensonge, a toutes les chances d’être l’enfant bâtard de ce mensonge …
« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux… »
Que dit le « Great Reset » ? Il s’agit en fait de créer une classe supérieure en réunissant ceux qui sont très bien placés dans l’industrie et la politique. Il faut ensuite paralyser la classe moyenne sur le plan économique, de sorte qu’elle n’ait plus le pouvoir de prendre ses propres décisions de vie. Puis, il s’agit d’offrir une dépendance considérablement accrue à l’égard de l’État profond pour soulager les difficultés économiques créées par l’État profond. Au final, il est question de supprimer les libertés, en échange de la promesse de largesses de la part des États profonds dirigés et contrôlés par la caste stato-financière qui les a incrustés.
Après tout cela, il est question d’instaurer un régime autoritaire puis totalitaire pour garantir la pérennité des nouveaux paradigmes de la société post-covidiste idéalisée.
Une fois que les contrôles seront pleinement mis en œuvre (grâce aux injections à ARNm : nous reviendrons sur ce sujet) et que la population sera devenue dépendante du nouveau système, le NOM commencera à supprimer les promesses faites dans sa propagande. L’idée qui sous-tend ce dernier point est que, lorsque les Etats Nations seront totalement dépendants des États profonds, ils auront perdu le pouvoir de s’opposer ou de se rebeller si les droits sont supprimés. Les Etats Nations seront alors totalement dominés.
Une vidéo du professeur Schwab présente l’état idyllique dans lequel les gens pourront se débarrasser de toutes les dettes personnelles, des bouleversements politiques et des troubles sociaux (Gilets Jaunes) qui éclataient si fréquemment jusqu’à présent.
La solution proposée est de céder son droit à la propriété de manière permanente, en échange d’une vie où la responsabilité serait minimale.
Selon le « Great Reset », le gouvernement aura le contrôle total de tous les aspects de votre vie, ainsi que la tâche d’éliminer tout obstacle à votre bonheur. Tout d’abord, vous renoncerez à tous vos droits au début de l’accord. Vous aurez perdu tous vos biens et toutes vos libertés. Vous dépendrez à 100 % de l’État profond. En échange de quoi « Le gouvernement mondial vous fournira un revenu de base. » Bien entendu, l’Etat profond nous inspire tellement la confiance, qu’il est évident que nous allons tous ensemble nous précipiter à ses pieds et accepter ce deal néo-féodaliste sans sourciller!
Vous louerez tout ce dont vous avez besoin : une résidence, un véhicule, des appareils électroménagers et même vos vêtements. Et surtout, vous serez heureux. Il n’y aura plus de guerres (comme si les peuples étaient responsables des guerres que seuls les Etats profonds leur ont infligées). Une « poignée de pays » (entendre « d’Etats profonds collaborateurs ») dirigera le monde en coopération. Il n’y aura plus d’attente pour des soins médicaux, puisque ceux-ci seront assurés « on line ».
« Il y aura un prix mondial pour les émissions de carbone. » Ceux qui utilisent des combustibles fossiles seront taxés pour leur utilisation. Autrement dit, les plus gros pollueurs industriels pourront polluer allègrement en payant cette taxe qui sera aussitôt répercutée dans les prix des ventes. Les « consommateurs » seront donc à nouveau dans la logique ultra libérale et les otages d’une organisation du pillage : rien de différent !
Toutes les choses qui ont été promises ou mises à votre disposition pourront évidemment être retirées une à une, jusqu’à ce que vous soyez à la fois serviable et appauvri. Vous n’aurez pas la capacité de vous rebeller ou même de vous plaindre. Dans ce néo-féodalisme, vous serez dans un rapport de pur servage à l’autorité : il faudra vivre à genoux face à votre seigneur tout puissant ! On vous dira, « ne méprise pas la main qui te nourrit ! » Ou encore, « Ne crache pas dans la soupe que le Maître t’a servie ! »
La violence exceptionnelle des problèmes sociaux, politiques et économiques qui caractérise le désastre actuel, a été causée par les choix des dirigeants politiques. Or, ce sont les mêmes qui vous demandent maintenant de leur faire confiance pour mettre fin à ces problèmes.
Les élites mondialistes veulent promouvoir des politiques telles que les taux d’intérêt négatifs, l’abolition de l’argent liquide et la migration de masse. Tout cela s’annonce comme un désastre de classe mondiale.
L’objectif final est le transhumanisme
Pour rendre possible un tel programme, il est indispensable de passer par la fusion des humains et des machines. Des micropuces implantables agiront comme des smartphones à l’intérieur du corps humain, transmettant les pensées au lieu de les verbaliser, y compris celles que la personne n’aura jamais le temps d’exprimer à un moment ou l’autre !
C’est cela qui est en cause dans le programme mondial de « vaccination » acharnée, organisé par les Etats profonds. On comprend dès lors à quel point il est insupportable pour eux de voir la résistance s’organiser contre ce programme. D’où la violence et la haine contre les résistants qu’ils appellent odieusement les « anti-vaxx », maniant cette manipulation scandaleuse sans scrupules … Dans notre deuxième chapitre, nous verrons ce qu’il en est.
La porte est donc ouverte sur tous les abus possibles, mais nous devons faire une confiance aveugle en ceux qui ont organisé l’ultra libéralisme destructeur de l’humanité.
Margrethe Vestager, la commissaire européenne à la Concurrence écrivait:
« Je pense que c’est un faux dilemme, parce que la technologie permet de faire des tas de choses qui ne portent pas atteinte à votre vie privée. Je pense que, très souvent, lorsque les gens disent que ce n’est faisable que d’une seule manière, c’est parce qu’ils veulent les données pour leur propre usage. Nous avons élaboré un ensemble de lignes directrices, et avec les États membres, nous en avons fait une boîte à outils, afin que vous puissiez faire une application volontaire avec un stockage décentralisé, grâce à la technologie Bluetooth. Vous pouvez utiliser la technologie pour suivre le virus, mais vous pouvez toujours donner aux gens la liberté de choix. Ainsi, ils font confiance à la technologie et savent qu’elle sert à tracer le virus et rien d’autre. Je pense qu’il est essentiel de montrer que nous sommes vraiment sincères lorsque nous disons que vous devez pouvoir faire confiance à la technologie lorsque vous l’utilisez, que ce n’est pas le début d’une nouvelle ère de surveillance. Il s’agit de suivre le virus, et cela peut nous aider à ouvrir nos sociétés. » (Cf., Chotiner, Isaac, « The Coronavirus and the Future of Big Tech », The New Yorker, 29 avril 2020.
Klaus Schwab : « Les entreprises invoqueront la santé et la sécurité pour justifier une surveillance accrue. » (GR, page 134) Un monde dystopique nous attend.
C’est Evgeny Morozov qui a clairement expliqué que la « pandémie » laissait entrevoir un sombre avenir de « surveillance étatique techno-totalitaire ».
Morozov expliquait que l’utilisation de la technologie pour surveiller et contenir la « pandémie », « consacre la boîte à outils du solutionnisme comme option par défaut pour résoudre tous les autres problèmes existentiels, des inégalités aux changements climatiques. Après tout, il est beaucoup plus facile de déployer des technologies solutionnistes pour influencer le comportement individuel que de poser des questions politiques difficiles sur les causes profondes de ces crises. » (Cf., Morozov, Evgeny, « The tech ‘solutions’ for coronavirus take the surveillance state to the next level », The Guardian, 25 avril 2020)
Le porte-parole du Forum Economique Mondial de Davos se trahit lui-même en laissant entendre que les très riches seront toujours les gagnants dans cet avenir post-covidien !
Klaus Schwab :
« En France et au Royaume-Uni, plusieurs voix de l’industrie estiment que jusqu’à 75 % des restaurants indépendants pourraient ne pas survivre au confinement et aux mesures de distanciation sociale consécutives. Cela ne concernera pas les grandes chaînes et les géants de la restauration rapide. Cela laisse supposer que les grandes entreprises deviendront plus grandes tandis que les plus petites diminueront ou disparaîtront. » (Cf., GR, page 156)
Comment être plus clair ?
Klaus Schwab écrit encore qu’à la suite de cette crise du Covid « les personnes souffrant de problèmes de santé mentale préexistants, comme la dépression, souffriront de plus en plus de troubles anxieux ; les mesures de distanciation sociale, même après avoir été réduites, auront aggravé les problèmes de santé mentale ; dans de nombreuses familles, la perte de revenus consécutive au chômage plongera les gens dans un phénomène de « mort de désespoir » ; la violence et les abus domestiques, en particulier à l’égard des femmes et des enfants, augmenteront tant que la pandémie perdurera ; et les personnes et les enfants vulnérables – les personnes prises en charge, défavorisées sur le plan socio-économique ou en situation de handicap nécessitant un niveau de soutien supérieur à la moyenne – seront particulièrement exposés à un risque accru de détresse mentale. » (Cf., GR page 184)
Klaus Schwab précisait :
Il s’agit « d’améliorer le capitalisme grâce à des investissements plus orientés vers le progrès mutuel en se concentrant davantage sur les initiatives environnementales … »
C’est le programme inscrit dans « l’Agenda 2030 ». Globalement, « l’Agenda 2030 » promu par l’ONU, a entraîné l’adhésion des pays membres qui sont tenus désormais de le mettre en application. Ces mesures sont mondialistes mais sont mises en oeuvre régionalement. C’est pourquoi les gens ne se rendent pas compte de ce qui est déjà en marche depuis longtemps. Toutes les mesures qui y sont programmées consistent, en résumé, à dissuader toute personne de vouloir vivre ou d’aller vivre à la campagne, en faisant en sorte que la masse de la population soit rassemblée dans des mégapoles pour un contrôle plus aisé et complet de l’ensemble des populations. Il s’agit de détruire toute possibilité de créer une autonomie des personnes et une autarcie des groupes de personnes qui pourraient remettre en cause l’efficacité de l’organisation du dressage par le contrôle…
Ces réseaux indépendants ( éco-lieux, éco-villages, les Colibris, les Jardins du Nous, le Réseau Solidarité Active, La Vague, les réseaux de permaculteurs et tous les autres réseaux archipellisés…etc) qui existent déjà et qui fonctionnent déjà depuis un certain temps seront la cible du harcèlement policier des Etats profonds. C’est là que pourraient surgir les occasions de guerre civile…
Les petits agriculteurs artisans sont oppressés par les réglementations impossibles à respecter, la fiscalité dissuasive, l’obligation des emprunts massifs, les prix dérisoires qu’ils sont obligés de pratiquer… Comment s’étonner qu’ils se suicident par milliers chaque année ! Cette profession est dissuadée de poursuivre son chemin pendant que l’agriculture industrielle prospère avec indécence aux dépens de l’environnement et de la santé publique…
Dans « La quatrième révolution industrielle », Klaus Schwab explique que le numérique a pénétré définitivement le monde des humains. Il y a un changement de nature dit-il, un nouveau référentiel pour l’homme, prié de réinventer sa manière de vivre, de travailler, de consommer et de faire société.
Klaus Schwab écrit : « Les valeurs occidentales auront été testées jusqu’au point de rupture ». Il s’agit de vérifier jusqu’où peut-on aller dans la rupture avec la liberté de pensée, la liberté d’expression, la liberté d’entreprendre…etc…
Nous voilà informés sur l’essentiel de ce que nous a concocté le « Great Reset », grâce à la « fenêtre d’opportunité » de la « pandémie » coronavirus, survenue justement maintenant par le plus pur des hasards ! Mais le plus important vient maintenant, car l’ère du transhumanisme annoncé ne serait pas possible sans une opération de grande envergure sur les humains eux-mêmes.
2 – LE VERITABLE CONTENU DES « VACCINS » ET LEUR OBJECTIF
Le fer de lance de cette opération de grande envergure, ce sont les « vaccins » à ARNm. C’est pourquoi nous devons connaître leur contenu réel.
Le IoNT est l’Internet des Nano objets. Un certain nombre d’injectés (pas nécessairement tous) sont actuellement en cours de mutation pour devenir des transhumains. On peut supposer que pour atteindre l’étape finale du modèle, il faudra plusieurs doses. C’est la raison qui explique pourquoi les Etats profonds s’acharnent à vouloir à tout prix « vacciner » les récalcitrants et imposer une troisième dose en Europe en disant que les deux premières sont déjà obsolètes ! On en est déjà à une quatrième dose en Israël ! Le récit vaccinaliste va continuer d’évoluer en inventant l’arrivée continuelle de nouveaux variants, tous plus dangereux les uns que les autres, afin de maintenir, dans chacun d’entre nous, la peur en haleine. Lorsque les résistants auront été neutralisés et finalement injectés de force dans des camps d’isolement, lorsque le nombre de doses nécessaires aura été atteint et le nombre des survivants stabilisé, les autorités déclareront que le retour à la nouvelle normalité sera enfin devenu possible. Comme par enchantement, les nouveaux variants auront définitivement disparu du monde viral.
1 – Le contenu
Tout d’abord, énumérons le contenu des « vaccins » en tant que tel, même si cette étape semble technique et fastidieuse. Puis nous expliquerons comment tout cela fonctionne.
Selon le site lilianeheldkhawam.com, l’analyse du contenu des injections à ARNm a révélé les éléments suivants :
« Nanotubes de carbone et dérivés CNT, SWCNT, MWCNT
Points quantiques de graphène GQD
Nanoantennes fractales en graphène
Nanorouteur ou nanocontrôleurs
CODEC ou Nanointerface
Topologie de nanoréseau
Nanonodes (GQD, Hydrogel nageurs, Nanotubes, Fibres)
Nanocapteurs (circuits de nanotubes, nanofeuillets de graphène)
Nanocontrôleurs (circuits de nanorouteurs QCA)
Nanointerface (circuits QCA nanoCODEC)
Communication avec l’extérieur
Nageurs hydrogels
La présence de points quantiques d’oxyde de graphène. Les points quantiques de graphène sont des morceaux de graphène ou d’oxyde de graphène à l’échelle micro- nanométrique avec des formes circulaires, hexagonales, triangulaires… qui résultent de la décomposition ou de l’oxydation de nanofeuillets de graphène. – Les GQD, loin d’être un défaut du réseau, jouent un rôle fondamental, puisque leur taille leur permet de fonctionner ou d’opérer comme des nano-antennes. De plus, ils circulent à travers le système circulatoire, les artères, les veines, capillaires, servant de marqueurs électriques, mais aussi biologique, car ils adsorbent les protéines et autres composants présents dans le sang.
L’interface humain-machine avec transmission de données.
La nanointerface est un circuit QCA plus complexe, qui contient une nanoantenne pour émettre et recevoir des signaux TS-OOK. Avec une forte probabilité, il dispose d’un CODEC pour crypter les paquets de données et les retransmettre à l’extérieur.
Nanocapteurs et nanorouteurs.
Lorsque le nanorouteur reçoit les signaux, il parvient à les encoder dans TS-OOK et à les acheminer sous forme de paquets de données à transmettre.
Les signaux TS-OOK ont un modèle binaire facile à interpréter et à transmettre, ce qui augmente la capacité de transmission de données et la bande passante pouvant être prise en charge dans le nanoréseau.
Le nanorouteur n’a pas besoin de processeur pour fonctionner, car l’architecture QCA (point quantique) lui permet de fonctionner à une fréquence d’horloge, tout comme le ferait un processeur d’ordinateur. De cette façon, les signaux sont transmis au nanorouteur le plus proche afin d’optimiser le nanoréseau et d’éviter la saturation du signal. Pour cette raison, plusieurs de ces composants sont prévu, assis grâce à l’hydrogel. »
A partir de cette observation, nous voyons qu’il est directement question du processus d’intégration homme-machine. Il faut également souligner que peu de scientifiques ont une vision d’ensemble de ce que peut être ce transhumanisme.
Depuis plusieurs mois, des investigateurs du contenu des fioles pour injections, ont déclaré que certains lots ne contenaient pas de nano-particules (et autres entités non caractérisées, également découvertes dans ces produits expérimentaux,) et le premier d’entre eux a été le Professeur Campra, de nationalité Espagnole.
Les flacons ont été identifiés selon leur lot : il y a des flacons qui ont un code 1, d’autres avec le code 2 et encore d’autres avec le code 3, inscrits dans la chaîne d’encodage du « vaccin ». Un chercheur polonais a identifié les trois codes sur les flacons témoins : l’un était un placebo, l’autre ne contenait rien de particulièrement inquiétant, mais le troisième contenait de l’oxyde de graphène. (Cf., Hold On, regarder à 01heure 14 minutes et 10 secondes). La vidéo a été censurée comme d’habitude et n’est plus accessible sur Youtube.
2 – L’explication
L’explication a été développée sur La Quinta Columna, à travers une vidéo publiée en décembre 2021 : https://vk.com/video625912804_456241171
Nous allons reprendre les termes de cette explication donnée par des chercheurs espagnols en faisant une traduction de l’espagnol en français.
« Quelque soient les produits Pfizer, AstraZeneca, Janssen, Moderna, tous contiennent de la nanotechnologie.
Les nanorouteurs peuvent émettent des adresses Mac enregistrables via la technologie sans fil Bluetooth, sur votre téléphone portable à l’aide d’une application.
Comme on l’a dit, des micro-structures d’oxyde de graphène ont été identifiées : elles forment le complexe des nano-antennes plasmodiques destinées à amplifier ces signaux.
Il y a également des nano-antennes redresseuses agissant comme des ponts rectificateurs du courant alternatif/continu des codecs (codeurs-décodeurs) et certaines portes logiques pour crypter ces nano-communications entre l’individu inoculé et un serveur à distance.
La présence de l’oxyde de graphène est indispensable pour assurer un auto-assemblage de ces complexes micro-structurés.
Les principaux mécanismes d’exfoliation de l’oxyde de graphène dans le corps en points quantiques de graphène sont :
- La biodégradation naturelle grâce à l’enzyme myéloperoxydase et le mécanisme de la teslaphorèse, soit des champs électromagnétiques de micro-ondes, générés à la base par des signaux de téléphonie mobile, à diverses qualités de fréquences.
- L’oxyde de graphène injecté dans le corps développe des propriétés magnétiques en contact avec l’hydrogène et les cellules vivantes. C’est la raison pour laquelle la grande majorité des personnes « vaccinées » présentent ce magnétisme exacerbé au point de l’inoculation et postérieurement au plexus solaire supérieur et au crâne. L’oxyde de graphène est détecté dans l’organisme par notre système immunitaire, comme s’il s’agissait d’un agent pathogène.
Une fois injecté, le graphène a une affinité avec le système nerveux central (la moelle épinière et le cerveau) à cause de leur grande conductivité électrique.
Mais, dans le système nerveux central, il peut causer l’immobilisation des membres, des AVC, des paraplégies et l’altération globale du système nerveux.
L’oxyde de graphène a un facteur coagulant du sang et augmente la thrombogénéité ou la prolifération de thromboses.
Les conséquences ultimes des thromboses sont les accidents cardio-vasculaires de tout genre, c’est-à-dire, des embolies, des ischémies, des crises cardiaques, des anévrismes, etc…
L’oxyde de graphène a aussi une affinité avec les organes éminemment électriques, comme le cœur, particulièrement lorsque l’activité cardiaque augmente, provoquant une activité électrique plus importante. Lorsque l’activité électrique du cœur augmente, l’oxyde de graphène se dirige vers lui en provoquant son inflammation elle-même responsable de myocardites ou de péricardites.
De plus, l’oxyde de graphène a la capacité d’absorber la radiation électromagnétique ambiante et de multiplier cette radiation par un effet transistor.
C’est ainsi que l’oxyde de graphène génère de petites décharges responsables des arythmies dans le système cardiaque.
Ce que l’on vient d’évoquer explique pourquoi tellement de sportifs souffrent d’arythmies au moment où leur activité cardiaque est sollicitée.
Ces arythmies se traduisent par des évanouissements, des pertes de conscience, des syncopes, évanouissements liés parfois à une mort subite surprenante…
Une grande partie des « vaccinés » est concernée par la mort subite au moment d’interagir à proximité de foyers micro-ondes.
L’oxyde de graphène est aussi capable de générer de la mutagenèse, de l’altération chromosomique et des cancers, si bien que chez les personnes ayant récemment souffert de tumeurs ou de néoplasies après le « vaccin », le nombre des métastases peut ressurgir rapidement et des personnes complètement saines, peuvent se mettre à développer des tumeurs.
L’oxyde de graphène est extrêmement toxique. Sa toxicité dépend de la radiation électromagnétique qu’il absorbe. Sur son chemin, il génère l’inflammation des tissus, des inflammations systémiques ou multi-organiques, provoquant par ailleurs une cascade de radicaux libres.
Lorsque le stress oxydatif causé par cette substance toxique dans le corps fait pencher la balance de « l’équilibre redox », et atteint un certain seuil, supérieur au niveau antioxydant de notre glutathion endogène, notre système immunitaire s’effondre et favorise le fameux orage de cytokines.
L’oxyde de graphène injecté dans le corps en tant que matière première des « vaccins », est éliminé par le travail des poumons. Mais s’il est irradié alors qu’il s’y trouve encore, il va provoquer une inflammation des tissus pulmonaires et causer une pneumonie bilatérale.
Si les « vaccinés » survivent aux premières doses d’oxyde de graphène injectées dans leur sang, celui-ci est dégradé dans le corps par les anticorps neutralisants qui sont les agents responsables de sa dégradation. La neutralisation de la toxicité du graphène fait monter les immunoglobulines. C’est ce phénomène qui entraîne l’obligation de se faire « vacciner » tous les trois mois, afin de maintenir dans le corps les niveaux de cette substance toxique, sous le prétexte qu’il y a une baisse de l’immunité naturelle innée et acquise.
Le virus SARS-CoV-2 inexistant, non isolé, non purifié, non cultivé, de la version officielle, ainsi que ses « variants », est en réalité, l’oxyde de graphène introduit volontairement et sciemment dans les « vaccins » contre la grippe de la saison 2019-2020.
Cette maladie qui a été réétiquetée comme « Covid-19 », est en réalité un syndrome de radiation sévère, renforcé par le graphène.
C’est aussi pourquoi, les victimes de la première vague de Covid-19 ont été les anciens des EHPADS, parce que le taux de vaccination contre la grippe y était proche de 100%. On se rappellera que les anciens ont été les premiers à être « vaccinés » avec ce produit expérimental, puis ils ont été irradiés par les antennes de téléphonie mobile, lesquelles sont justement implantées à proximité des EHPADS, 8 fois sur 10 !
Ce génocide des anciens, renforcé par les prescriptions de Rivotril recommandées par le ministère de la santé et les ARS, a alimenté copieusement les litanies quotidiennes des morts par « coronavirus » en boostant par la même occasion la fabrication de la peur d’un nouveau virus inconnu et d’une pandémie, indispensable au programme qui allait suivre.
Le travail des médias inféodés serait déterminant dans cette campagne de la peur, car il permettrait de passer aux injections généralisées de cette substance à ARNm chargées d’oxyde de graphène.
Il est inévitable de penser que l’un des objectifs recherchés ne pouvait être que l’élimination d’une grande partie de la population mondiale et d’utiliser ensuite les propriétés de modulation comportementale de l’oxyde de graphène dans le domaine des neurosciences et de l’intelligence artificielle, pour la population qui survivrait à ce premier tri par élimination.
L’oxyde de graphène a une affinité spéciale pour les neurones. Une fois qu’il s’est installé dans leur milieu, il y développe un réseau neuronal artificiel qui va remplacer peu à peu le réseau neuronal naturel.
Lorsque les nano-particules d’oxyde de graphène atteignent une taille inférieure à 35 nanomètres, elles peuvent facilement traverser la barrière hémato-encéphalique (la membrane qui protège notre cerveau des possibles agressions extérieures) en accédant à notre réseau neuronal naturel.
L’oxyde de graphène peut casser les synapses neuronales de manière qu’il est possible de cartographier le cerveau et de collecter des données comme les souvenirs, les pensées, des pensées localisées, des sensations, des émotions et des sentiments.
On peut dès lors comprendre pourquoi, dans ce contexte de fausse pandémie, certains pays ont adopté et imposé une loi sur les « neurodroits ».
Il faut également savoir que l’oxyde de graphène peut être stimulé à distance, sans fil, en utilisant à cette fin la mise en service de la nouvelle technologie 4G, 4G+ et 5G.
Tous les « vaccinés » transmettent, sans le savoir, leurs données personnelles à un serveur externe, contrôlé par une IA (intelligence artificielle).
L’ignorance et la méconnaissance de la communauté médicale et sanitaire, concernant l’oxyde de graphène comme de la nanotechnologie en général, a permis aux laboratoires concernés de passer massivement à une expérimentation mondiale sans précédent. L’espèce humaine est donc directement visée par ce programme d’injections qui ouvre la porte du transhumanisme. Une nouvelle espèce va sortir de cette expérimentation appelée le « projet humain 2.0 », « Avatar Project »… Cet avatar humain sera privé de ses propres pensées, de son autonomie et de son libre arbitre. Cette nouvelle espèce sera conditionnée par un esclavage radicalisé, entièrement dépendante d’une oligarchie technocrate qui s’occupera de tout vous concernant… »
En effet, « Vous ne posséderez(plus) rien, mais vous serez heureux ! » Pour les « vaccinés », il ne leur reste plus qu’à se poser la question de savoir ce qu’est vraiment le bonheur !