Dans un paysage cinématographique désolant de platitude et de banalité, ce n’est pas sans surprise que nous voyons apparaître de temps en temps un météore qui nous rappelle qu’il est possible de produire autre chose que ces objets de convention pour la consommation de la masse.

Ce premier film de Julia Ducournau gravite justement autour de la consommation, et de la masse. De quelle consommation, et de quelle masse, je ne peux vous le dire encore, parce que c’est trop GRAVE !

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