On entend souvent dire, sans même y prêter réellement attention, comme si cela n’était qu’une information parmi d’autres dans le flot ininterrompu d’informations qui nous submerge quotidiennement à propos de cette crise du coronavirus, que l’agent pathogène, le virus du SARS-CoV-2 a été “isolé” par une équipe chinoise au début de l’épidémie à Wuhan.
Or, rien n’est plus faux ! Le virus n’a JAMAIS été isolé, par aucun laboratoire dans le monde, et personne ne l’a JAMAIS vu sous un microscope électronique.
Rétablir cette vérité a des implications immenses. Si le virus du SARS-CoV-2 n’existe pas, qu’est-ce donc qui rend les gens malades de cette maladie qu’on appelle le Covid-19 ?
C’est cette fraude de l’existence supposée d’un agent pathogène nouveau qui serait la cause de cette fausse pandémie que dénoncent haut et fort le Dr. Andrew Kaufman, le Dr. Thomas Cowan et Sally Fallon Morell. Ensemble, ils ont publié une déclaration intitulée “Statement on Virus Isolation” (SOVI) dans laquelle ils remettent les pendules à l’heure sur des vérités scentifiques de base.
Voice une traduction en français de cette déclaration.
Déclaration à propos de l’Isolement des Virus (SOVI)
Voici la définition que donne le dictionnaire LAROUSSE du verbe « Isoler » :
« Considérer quelque chose à part, indépendamment du reste, l’en distinguer : Isoler une phrase de son contexte. »
Synonymes : abstraire – détacher – disjoindre – dissocier
La controverse sur le fait de savoir si le virus du SARS-CoV-2 a été effectivement isolé et purifié continue. Toutefois, en se basant sur la définition ci-dessus, le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne dépourvue de préjugé doit logiquement arriver à la conclusion que le virus SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé ni purifié. Il s’ensuit qu’aucune confirmation de l’existence de ce virus ne peut être établie. Les conséquences, à la fois scientifiques et de bon sens de ce fait sont les suivantes :
-La structure et la composition de quelque chose dont l’existence n’est pas établie ne peut être connue. Ceci inclut la présence, la structure, et la fonction de n’importe quelle protéine « spike » ou autre.
-La structure génétique de quelque chose qui n’a jamais été trouvé ne peut être connue.
-Les « variants » de quelque chose dont l’existence n’est pas établie ne peuvent être connus.
-Il est impossible de démontrer que le SARS-CoV-2 est la cause d’une maladie appelée Covid-19.
En des termes aussi concis que possible, voici le moyen adéquat pour isoler, caractériser et prouver l’existence d’un nouveau virus. D’abord, on prélève des échantillons (sang, crachat, sécrétion) sur un nombre suffisant de sujets (par ex 500) qui présentent des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN AUTRE tissu ou produit contenant du matériel génétique, le virologiste fait macérer, filtre et centrifuge, c’est-à-dire purifie le spécimen. Cette technique tout à fait commune en virologie, utilisée depuis des décennies pour isoler les bactériophages(1) et les prétendus virus géants dans tous les laboratoires de virologie, permet ensuite au virologue de mettre en évidence au microscope électronique des milliers de particules de forme et de taille identiques. Ces particules constituent le virus, isolé et purifié.
On s’assure ensuite que ces particules sont effectivement identiques au moyen de techniques physiques et/ou microscopiques. Une fois que la pureté est établie, on peut commencer à caractériser ces particules. Cela va de l’examen de la structure, de la morphologie, à la composition chimique des particules. Après cela, leur composition génétique est caractérisée en extrayant le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage des gènes, comme par exemple celle de Sanger, qui sont également d’usage courant depuis des décennies. Puis l’on réalise une autre analyse afin de confirmer que ces particules sont exogènes (extérieures) quant à leur origine, ainsi que c’est le cas pour les virus, et non les sous-produits de tissus morts ou mourants.(2) (A la date de mai 2020, les virologues ne disposent d’aucun moyen pour déterminer si les particules qu’ils voient sont des virus ou juste des sous-produits de tissus morts ou mourants.)(3)
Si nous en sommes arrivés à cette étape, alors nous avons pleinement isolé, caractérisé, et séquencé génétiquement une particule virale exogène. Néanmoins, il nous reste encore à prouver qu’elle est causalement reliée à une maladie. Cela se fait en exposant un groupe de sujets sains (des animaux le plus souvent) à ce virus isolé et purifié de la manière dont on pense que la maladie se transmet. Si les animaux deviennent malades de cette même maladie, ce qui doit être confirmé par les résultats d’autopsie, on a alors démontré que le virus est la cause de la maladie. On a alors démontré l’infectiosité et la transmissibilité de l’agent infectieux.
Aucune de toutes ces étapes n’a jamais été tentée pour ce qui concerne le SARS-CoV-2, pas plus qu’elles n’ont jamais été menées avec succès sur aucun prétendu virus pathogène. Notre recherche nous indique qu’il n’existe pas, ne serait-ce qu’une seule étude dans toute la littérature médicale, ayant accompli ces étapes.
Au contraire, depuis 1954, les virologistes ont utilisé des échantillons non purifiés, prélevés sur relativement peu de sujets, souvent moins de dix, présentant une même maladie. Ce qu’ils font alors généralement, c’est qu’ils transforment de manière minimale cet échantillon et inoculent cet échantillon non purifié sur un milieu de culture qui contient généralement quatre à six autres types de tissus – dont tous contiennent du matériel génétique identique à ce qui est appelé « virus ». Le milieu de culture est sous-nourri et empoisonné et se désintègre naturellement en différents types de particules dont certaines contiennent du matériel génétique. Contre tout bon sens, logique, bon usage de la langue française, et contre toute intégrité scientifique, ce processus est appelé « isolement du virus ». Cette soupe contenant des fragments de matériel génétique provenant de sources variées est ensuite soumis à une analyse génétique, qui crée ensuite, dans un processus de simulation par ordinateur, la supposée séquence du supposé virus, appelée le génome in silico. A aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. A aucun moment un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel. C’est une fraude scientifique.
L’observation que l’échantillon non purifié – inoculé sur un milieu de culture avec des antibiotiques toxiques, des tissus de fœtus bovins, du liquide amniotique et d’autres tissus, détruit les cellules de reins sur lesquelles il a été inoculé, est présenté comme une preuve de l’existence du virus et de son caractère pathogène. C’est une fraude scientifique.
À partir d’aujourd’hui, lorsque quelqu’un vous citera un papier suggérant que le SARS-CoV-2 a été isolé, vérifiez seulement par quelle méthode. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que ce processus ne correspond pas à l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour justifier qu’un isolement en bonne et due forme n’a pas été fait :
- Il n’y avait pas assez de particules virales trouvées dans les échantillons des patients pour qu’elles puissent être analysées.
- Les virus sont des parasites intra-cellulaires ; ils ne peuvent être trouvés en-dehors des cellules de cette manière.
Si 1 est juste, et que nous ne pouvons trouver le virus dans les crachats des personnes malades, sur quelle base pouvons-nous affirmer que le virus est dangereux et même mortel ? Si 2 est juste, alors comment le virus se transmet-il de personne à personne ? On nous dit qu’il sortent des cellules infectées pour en infecter d’autres. Pourquoi donc n’est-il pas possible de les retrouver ?
Finalement, questionner ces techniques de virologie et ces conclusions n’est ni une distraction, ni une polémique sans fondement. Mettre en lumière ces vérités est essentiel pour faire barrage à cette gigantesque fraude à laquelle l’humanité est confrontée. Car, si comme nous le savons maintenant, le virus n’a jamais été isolé, séquencé, s’il n’a pas été démontré qu’il est cause de la maladie, si ce virus est imaginaire, pourquoi donc portons-nous des masques, adoptons-nous la distanciation sociale et mettons-nous le monde entier en prison ?
Finalement, si les virus pathogènes n’existent pas, qu’est-ce donc qu’il y a à l’intérieur de ces kits injectables faussement appelés « vaccins », et quel est leur objet ? Cette question scientifique est la plus urgente et la plus pertinente de notre temps.
Nous avons raison. Le virus SARS-CoV-2 n’existe pas.
Sally Fallon Morell, MA
Dr. Thomas Cowan, MD
Dr. Andrew Kaufman, MD
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1 Isolation, characterization and analysis of bacteriophages from the haloalkaline lake Elmenteita, KenyaJuliah Khayeli Akhwale et al, PLOS One, Published: April 25, 2019. https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0215734 — accessed 2/15/21
2 “Extracellular Vesicles Derived From Apoptotic Cells: An Essential Link Between Death and Regeneration,” Maojiao Li1 et al, Frontiers in Cell and Developmental Biology, 2020 October 2. https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fcell.2020.573511/full — accessed 2/15/21
3 “The Role of Extraellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses,” Flavia Giannessi, et al, Viruses, 2020 May